La voix de l'avare qui compte ses mots
Par peur d'en dire trop il n'en dit pas assez
Par peur de donner il prend et reprend
Il se retrouve enterré dans sa solitude
Perfide le pauvre scélérat riche avare
Mais pauvre homme sans amour vivant
C'est à donner que l'on devient riche
A semer le bonheur et l'amour à tout vent
Je vous crois bien riche de donner ainsi
Partager vos mots composés avec les miens....
Mais vous prenez tout vos mots et les miens
Vous enrichissant en vous appauvrissant
Je vous laisse les mots et je rapars dignement
Libre de dire et redire tout ce qui me fait vibrer
Sans peur de me faire prendre quelques mots
Ils sont de ma peauésie de l'encre de chine
Qui coule dans mes veines et je suis moi
A tout donner … A tout perdre … Sauf moi
Je me trouve à travers les mots de chacun
Je me perds à travers les miens mais j'y suis
Fini les avares qui prennent sans donner...
PEAUÉSIE BACH....